mardi 26 octobre 2010

De la part d'Anne

Voici ce que le génie afro-cubain peut faire d'un «standard». La chanteuse en blanc se nomme Celia Cruz, ses complices sont désignés les uns après les autres. Quelles voix, quelle présence et quel orchestre ! Je forme des vœux pour que Cuba cesse enfin de n'exister que dans l'inconscient d'un vieillard et de la camarilla qui l'entoure. Il doit bien y avoir un chemin entre cette prison tropicale, gardée par des militaires, des policiers et leurs délateurs, et le dieu dollar !

1 commentaire:

Nuagesneuf a dit…

Belle découverte que cette formation, merci de ce partage.